de cette grande marque française?

Plus qu'une marque, c'est l'incarnation du glamour et du bien-être.

Depuis plus d'un siècle, elle magnifie la féminité avec poésie et sensualité.

Il y a quelques semaines, l'Agence AMBASSABUZZ a demandé à

 **** Dame la Lune **** d'inventer un carton d'invitation

pour une marque de lingerie qui organise une rencontre

de blogueuses expertes à Strasbourg !!

**** Dame la Lune **** a lâché ses pinceaux pour sa pince et son fil de fer...

Aussitôt proposé, aussitôt validé et tout aussi vite réalisé...

Un projet express...

un vrai défi créatif que **** Dame la Lune **** a relevé avec plaisir.

Merci Anne-Cécile, merci Pauline!

Pour découvrir ses autres créations en fil de fer c'est ici

et ses réalisations sur mesure c'est là

Véronique C.,une Artiste à la fantaisie naturelle  et Véronique D., plus connue par ici

sous le nom de **** Dame la Lune ****, une Créatrice qui rêve d'un monde plein de couleurs, 

se croisaient depuis quelques années sur différents projets...

Un jour pluvieux du mois de décembre

 Véronique C., l'Artiste, a demandé à rencontrer, autour d'un café,

Véronique D, la Créatrice, pour lui proposer un projet

de décor original , plein d'amour et d'humour ****.

A l'occasion du plus beau jour de la vie de jeunes amoureux

Véronique CHAMBEAU avait réalisé des accessoires originaux pour 2 Smart .

Depuis la mise en ligne d'un montage photos de sa réalisation,

les demandes s'enchaînaient et... l'envie se faisait

de développer le concept et d'étoffer l'offre pour répondre

aux désirs les plus fous des futurs mariés.

Et c'est ainsi que depuis quelques mois,

 **** les deux Véro **** étudient, prospectent, testent, élaborent, façonnent

un concept personnalisable d'éléments de décor pour

voitures en fête!

Pour découvrir l'univers onirique de Véronique Chambeau,

 cliquer sur son autoportrait!

Et si cela vous dit... n'hésitez pas à prendre contact par la **** 

... le conduisit dans une petite étable et l'y enferma au verrou.

La sorcière s'approcha ensuite de Grethel, la secoua pour la réveiller et s'écria :

- Debout, paresseuse ! Va chercher de l'eau et prépare quelque chose à manger pour ton frère.

 Il est enfermé à l'étable et il faut qu'il engraisse. Quand il sera à point, je le mangerai.

Tous les matins, la vieille se glissait jusqu'à l'écurie et disait :

- Hansel, tends tes doigts, que je voie si tu es déjà assez gras.

Mais Hansel tendait un os et la sorcière, qui avait de mauvais yeux,

ne s'en rendait pas compte. 

Quatre semaines furent passées, et l'enfant était toujours aussi maigre, elle perdit patience .

- Demain, je le tuerai et le mangerai.

Ah, comme elle pleurait, la pauvre petite,  comme les larmes coulaient le long de ses joues !

- Cesse de te lamenter ! dit la vieille ; ça ne te servira à rien !

De bon matin, Grethel fut chargée de remplir la grande marmite d'eau et d'allumer le feu.

- Nous allons d'abord faire la pâte, dit la sorcière. J'ai déjà fait chauffer le four.

Elle poussa la pauvre Grethel vers le four, d'où sortaient de grandes flammes.

- Faufile-toi dedans ! ordonna-t-elle, et vois s'il est assez chaud pour la cuisson.

 Elle voulait la manger, elle aussi. Mais Grethel devina son projet et dit :

- Je ne sais comment faire, comment entre-t-on dans ce four ?

- Petite oie, dit la sorcière, l'ouverture est assez grande, vois, je pourrais y entrer moi-même.

Et elle y passa la tête. Alors Grethel la poussa dans le four, claqua la porte et mit le verrou.

La sorcière se mit à hurler. Mais Grethel s'en alla et cette horrible sorcière n'eut plus qu'à rôtir.

Grethel, courut aussi vite qu'elle le pouvait cherchez Hansel. Elle ouvrit la petite étable et dit :

- Hansel, nous sommes libres ! La vieille sorcière est morte !

Hansel bondit hors de sa prison, aussi rapide qu'un oiseau . Comme ils étaient heureux !

- C'est encore mieux que mes petits cailloux ! dit Hansel en remplissant ses poches.
Et Grethel ajouta :

- Moi aussi, je veux en rapporter à la maison !

Et elle en mit tant qu'elle put dans son tablier.

- Maintenant, il nous faut partir, dit Hansel, si nous voulons fuir cette forêt ensorcelée.

Au bout de quelques heures, ils arrivèrent sur les bords d'une grande rivière.

- Nous ne pourrons pas la traverser, dit Hansel, je ne vois ni passerelle ni pont.

- On n'y voit aucune barque non plus, dit Grethel. Mais voici un canard blanc.

Si Je lui demande, il nous aidera à traverser.

Le petit canard s'approcha et Hansel se mit à califourchon sur son dos.

Il demanda à sa sœur de prendre place à côté de lui.

La petite bête les mena ainsi à bon port. Quand ils eurent  passé l'eau , ils s'aperçurent au bout de quelque temps que la forêt leur devenait de plus en plus familière. Finalement, ils virent au loin la maison de leur père.

L'homme n'avait plus eu une seule minute de bonheur depuis qu'il avait abandonné ses enfants.

Sa femme était morte.

Grethel secoua son tablier et les perles et les diamants roulèrent à travers la chambre.

Hansel en sortit d'autres de ses poches, par poignées. C'en était fini des soucis.

Ils vécurent heureux tous ensemble.

Conte de Grimm, et petites illustrations ...***** Dame la Lune *** ***

Pour découvrir ce qu'elle fait avec sa palette et ses pinceaux,

c'est juste ICI

Lorsque la femme eut ouvert et quand elle vit que c'étaient Hansel et Grethel, elle dit :

- Méchants enfants ! Pourquoi avez-vous dormi si longtemps dans la forêt?

  Nous pension que vous ne reviendriez jamais. 

Leur père, lui, se réjouit, car il avait le cœur lourd de les avoir laissés seuls .

Peu de temps après, la misère régna de plus belle et

les enfants entendirent ce que la marâtre disait, pendant la nuit, à son mari : 

- Il ne nous reste plus rien à manger!

Il faut nous débarrasser des enfants ; nous les conduirons encore plus profond dans la forêt . 

  Les enfants n'étaient pas encore endormis, ils avaient tout entendu.

Quand les parents furent endormis, Hansel se leva avec l'intention de ramasser des cailloux.

Mais la marâtre avait verrouillé la porte. Il consola cependant sa petite sœur :

- Ne pleure pas, Grethel, dors tranquille ; le bon Dieu nous aidera.

 **** ****

Tôt le matin, la marâtre fit lever les enfants. Elle leur donna un morceau de pain.

Sur la route de la forêt,  Hansel s'arrêtait souvent pour en jeter un peu sur le sol...

La marâtre conduisit les enfants au fin fond de la forêt, plus loin qu'ils n'étaient jamais allés.

- Restez là. dit la femme, nous allons couper du bois, ce soir nous viendrons vous chercher.

À midi, Grethel partagea son pain avec Hansel.

Puis ils dormirent et la soirée passa sans que personne ne revînt auprès d'eux.

Ils s'éveillèrent au milieu de la nuit, et Hansel consola sa petite sœur, disant : 

- Attends que la lune se lève, Grethel, nous verrons les miettes de pain que j'ai jetées ;

  elles nous montreront le chemin de la maison.

Quand la lune se leva, ils se mirent en route. Mais de miettes, point.

Les mille oiseaux des champs et des bois les avaient mangées.

Les deux enfants marchèrent toute la nuit et le jour suivant, sans trouver à sortir de la forêt.

 **** **** 

Trois jours s'étaient déjà passés depuis qu'ils avaient quitté la maison paternelle.

Ils continuaient à marcher, s'enfonçant toujours plus avant dans la forêt.

À midi, ils virent un joli oiseau  blanc sur une branche.

Il chantait si bien que les enfants s'arrêtèrent pour l'écouter.

Quand il eut fini, il déploya ses ailes et vola devant eux.

Ils le suivirent jusqu'à une petite maison sur le toit de laquelle l'oiseau blanc se percha.

Quand ils furent  tout près, ils virent qu'elle était faite de pain et recouverte de gâteaux.

- Nous allons nous mettre au travail, dit Hansel, et faire un repas béni de Dieu.

Je mangerai un morceau du toit ; ça a l'air d'être bon !

Hansel grimpa sur le toit et en arracha un petit morceau pour goûter.

Grethel se mit à lécher les carreaux. On entendit alors une voix suave qui venait de la chambre

- Langue, langue lèche ! Qui donc ma maison lèche ?

Les enfants répondirent

- C'est le vent, c'est le vent. Ce céleste enfant.

Et ils continuèrent à manger sans se laisser détourner. 

Tout à coup, la porte s'ouvrit et une femme s'appuyant sur une canne, sortit de la maison.

Hansel et Grethel eurent si peur qu'ils laissèrent tomber tout ce qu'ils tenaient dans leurs mains.

La vieille secoua la tête et dit :

- Eh ! Chers enfants, qui vous a conduits ici ? Entrez! Il ne vous sera fait aucun mal.

Elle les prit tous deux . Elle leur servit du lait et des beignets avec du sucre, des pommes et des noix.

Elle prépara deux petits lits. Hansel et Grethel s'y couchèrent. Ils se croyaient au Paradis.

Mais l'amitié de la vieille n'était qu'apparente. En réalité, c'était une méchante sorcière.

Quand elle  prenait un enfant, elle le tuait, le faisait cuire et le mangeait.

 Quand Hansel et Grethel s'étaient approchés de sa demeure,

elle avait ri méchamment et dit d'une voix mielleuse :

- Ceux-là, je les tiens ! Il ne faudra pas qu'ils m'échappent !

À l'aube, avant que les enfants ne se soient éveillés, elle se leva.

Quand elle les vit qui reposaient si gentiment, avec leurs joues toutes roses, elle murmura :

- Quel bon repas je vais faire !

Conte de Grimm, et petites illustrations ...***** Dame la Lune *** ***

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